17 septembre 2007
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10:38
Ave !
Ayé ! Les travaux ont commencé ce dimanche dans la dernière piaule !
Bon, yaka changer une lettre : on passe donc du HAKAAA à une opération WAKAAA !
Bref, on commence par une phase de démolition : dépose du radiateur, de la planche devant la fenêtre (bouffée par dessous par les "vrillettes" ... Grrrr), du placo, des montants en tasseau plein de clous et des plaques de polystyrene qui servent d'isolant.
Au début, ça a ressemblé à ça :
Puis à ça :
Je passe sur les découvertes de rongeurs momifiés, de leurs "aménagements" derrière la cloison et sur l'évacuation des déblais vers la remorque (prêtée par "Troisièmelarron" en attendant le passage de l'expert pour la notre).
Ici, l'autoroute à mulots :
Et enfin, on a commencé à boucher au mortier de chaux quelques-uns des trous d'accès potentiels de nos locataires à dents aigües :
En particulier, celui - là, qui semblait très fréquenté, vu le nombre de crottes !
Cette vue rapprochée permet aussi de comprendre pourquoi on recouvre : les pierres du mur ne sont pas si belles que ça ... enfin ... moins qu'on pouvait s'y attendre ...
En corrolaire, on joue désormais à Michel Blanc dans un film resté célèbre : "Viens chez moi, j'habite chez une copine" !
Non non, on n'a pas les dents qui poussent et on ne voit pas passer de renards !
On a notre matelas dans la cuisine !
Ayé ! Les travaux ont commencé ce dimanche dans la dernière piaule !
Bon, yaka changer une lettre : on passe donc du HAKAAA à une opération WAKAAA !
Bref, on commence par une phase de démolition : dépose du radiateur, de la planche devant la fenêtre (bouffée par dessous par les "vrillettes" ... Grrrr), du placo, des montants en tasseau plein de clous et des plaques de polystyrene qui servent d'isolant.
Au début, ça a ressemblé à ça :
Puis à ça :
Je passe sur les découvertes de rongeurs momifiés, de leurs "aménagements" derrière la cloison et sur l'évacuation des déblais vers la remorque (prêtée par "Troisièmelarron" en attendant le passage de l'expert pour la notre).
Ici, l'autoroute à mulots :
Et enfin, on a commencé à boucher au mortier de chaux quelques-uns des trous d'accès potentiels de nos locataires à dents aigües :
En particulier, celui - là, qui semblait très fréquenté, vu le nombre de crottes !
Cette vue rapprochée permet aussi de comprendre pourquoi on recouvre : les pierres du mur ne sont pas si belles que ça ... enfin ... moins qu'on pouvait s'y attendre ...
En corrolaire, on joue désormais à Michel Blanc dans un film resté célèbre : "Viens chez moi, j'habite chez une copine" !
Non non, on n'a pas les dents qui poussent et on ne voit pas passer de renards !
On a notre matelas dans la cuisine !